Hierscht-Tour “Ab in den Süden” 2014

Tour-automnal
 
L’ultime grand tour de la saison 2014 se déroulait du 27 octobre au 01 novembre 
27.10. – 14:00 hrs - 12° - temps maussade et plutôt brumeux, mais sec et notre guide donne le départ à la station Q8 à Dudelange. 2 musclées (6 cylindres), une gentille RT, une Adventure et 2 “simples” GS ont pris le départ direction Montrevel-en-Bresse via autoroutes. Vers 18:00 et après 450 km, nous arrivons à l’Hotel Le Pillebois. Douche, apéro, dîner et hop, 22:30 couché dodo.
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28.10. – 08:00 hrs - 12° - appel nominal - petit-déj. - contrôle de l’huile (un peu trop - mais ça devrait aller - et abondance de biens ne nuit pas – quoique !?) 09:00 hrs, c’est parti pour quelques 50 km d’autoroute pour contourner Bourg-en-Bresse et retrouver enfin les routes qui nous plaisent, pas encore très sinueuses, mais plaisantes, juste pour trouver la bonne position. On passe des petits patelins tranquilles, paisibles sans trop de circulation. La température monte à 15° et le soleil est à l’affiche. Après 110 km on reprend l’autoroute et une heure plus tard, on la quitte pour de bon. C’est enfin parti pour une belle petite partie de montée avec +/- 15 lacets très étroits et bien serrés, (question d’échauffement, prétend le tour guide) dans la montée du Mont-Vernier. On retrouve vite la départementale et arrive aussitôt à St. Jean-, puis à St. Michel de Maurienne et au pied du premier col de la journée. Km 235 - Col du Télégraphe, pneus et pilotes ont aussitôt pris la température de service. Un peu plus loin, au km 248 on attaque les virages du mythique Col du Galibier (passage de la Savoie dans les Hautes Alpes). Km 267, on arrive au sommet et le GPS de JPS* affiche 3° et « risque de verglas ». On prend quelques photos et entame ensuite la descente vers le Col du Lautaret. Toujours en aval, on arrive vite à Briançon où on s’arrête une petite heure, le temps de croûter une Pizza arrosée d’eau gazeuse. On est au milieu du Parc National du Mercantour.
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Au redémarrage, on suit la D 902 « Route des Grandes Alpes » par Le Laus, toujours en direction du Col d’Izoard. Une bonne vingtaine de kilomètres de belle montée, arrêt et prise de photo traditionnelle au mémorial du général Berge (constructeur de cette belle route alpine) et c’est la descente par la « Casse Déserte », Arvieux et la « Combe du Queyras » vers Guillestre. Notre chevauchée continue direction sud et en passant Vars et un peu plus loin le Col de Vars, on passe des Hautes Alpes aux Alpes de Haute Provence.  A l’entrée de Jausiers, dans la prochaine vallée, on prend à gauche et on attaque les premières pentes du Col de Restefond. Peu avant le col, on passe devant l’ancienne caserne et on contourne la Cime de la Bonette, avec ses 2802m le toit de notre tour. Ici à l’ombre, le thermomètre annonce -1°. On passe des Alpes de Haute Provence aux Alpes Maritimes. Quelques photos et on descend via Saint-Etienne-de-Tinée et Isola vers Saint-Sauveur-sur-Tinée (km 433) 17:30 hrs, après 6½ hrs de route et +ou- 2 hrs de pauses, il commence à faire nuit. On enchaîne la N 202 direction Nice, le trip master affiche 510 km, encore une vingtaine de kilomètres. Pour terminer la journée, on monte dans l’obscurité quasi totale la route sinueuse vers Colomars et on arrive finalement à l’Auberge du Rédier, ou nous bivouaquons pour les prochains 3 jours, avec tout le luxe nécessaire, un service irréprochable et une table à la luxembourgeoise (quantité et qualité) avec un bon pinard du coin. Epuisé de cette longue journée variée et des nombreuses dénivellations, on glisse sous la couverture et tombe dans un sommeil profond jusqu’à la sonnerie du réveil le matin. 
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29.10.  7 - 8 - 9, code bien connu par tous les participants, une étape XL s’annonce, Col de Tende - Isola 2000 - Turini. C’est parti direction Col de Tende, un col que quelques-uns connaissent et qui, lors du dernier passage du club, par temps de neige, ne les « tend(t)ait » pas du tout. Cette fois-ci, pas de problème, le temps est clément. On commence par des petites routes à travers des jardins encore en pleine couleur d’automne, en passant par Châteauneuf-Villevielle et plusieurs virages vers L’Escarène. La D 2204 nous mène par le Col de Braus et le Col Saint Jean à Sospel. Après un plein, notre route continue par le Col de Pérus et le Col de Brouis vers Breil-sur-Roya et Saorge. Apès un petit café à Fontan le voyage continue vers Limone Piemonte et on se jette dans les premières rampes du Col de Tende. Et là, rebelote, le passage vers l’Italie par le tunnel est fermé à cause de travaux ...et nom d’un …., l’ancienne route par le col est également fermée ! Ce n’est pas vrai, ce n’est pas sérieux. Pour la deuxième fois de suite, on échoue si près du but. Allez, « il faut que j’essaie quand-même » … et notre tour guide se lance dans l’aventure et monte les 46 lacets étroits et serrés de l’ancienne route, très caillouteuse dans sa deuxième partie. Après un certain temps, Alain nous informe que la route commence à devenir difficile mais qu’il continue direction sommet. Entretemps « mezzogiorno » les ouvriers passent le tunnel pour se ravitailler en Italie et acceptent qu’on les suive de l’autre côté, tandis qu’Alain patine dans les gravats un peu plus haut. Quelques instants plus tard, il nous signale, qu’au dernier lacet et a même pas 300 m du but il a dû faire demi-tour, route bloquée par une pierre énorme. Passé en Italie (par le tunnel fermé), on monte le Col de Tende du côté nord vers le r.d.v. au Sommet. Arrivé en haut, on attend Alain qui est à nos trousses. Dès son arrivée, les 3 GS continuent direction Fort Central tandis que les routières de luxe restent sur place. 
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Une montée caillouteuse et plutôt exigeante nous mène vers les anciennes casernes (abri de +ou- 3000 soldats et accompagnateurs) et, un peu plus haut, le Fort Centrale, construit en 1880, ici, à 1908m d’altitude, dominant toute la vallée. Quelle vue imprenable, quel endroit mythique. Après une demi-heure pleine d’émotions, quelques belles photos et quelques frissons, regroupement pour la descente.
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Après quelques km, une drôle de sensation me surprend, ma GS patine à l’arrière, la raison : une fine crevaison. On s’arrête, on met de l’air et on cherche une station d’essence, mais, pas de chance, on passe devant 3 stations fermées. On décide de se ravitailler d’abord et comme on est en Italie, on commande des pâtes. Tandis que les uns prennent l’apéro (eau pétillant ou coca), les autres cherchent à trouver le petit trou emmerdeur. Réparation vite faite, on a quand-même l’habitude, on mange calmement, mais comme il n’y a pas trop d’air, je suis le chef du resto vers son petit garage de l’autre côté de la rue. Lors du gonflage nous remarquons que le petit trou emmerdeur n’était pas tout seul, puisqu’un deuxième trou se manifeste. Après la deuxième réparation encore plus rapide, on repart vers Roccavione et Valdieri pour entamer la montée de Madonna Del Colletto. Dans la vallée, on passe les localités de Demonte, Aisone et Vinadio pour attaquer l’authentique Col de la Lombarde et regagner la France un peu plus loin. En descendant vers Isola 2000 mon GPS me fait peur en m’annonçant : « arrivé à Colomars après 3780 km !?! », drôle non ?  Je fais un « restart » et …. ouf, ils ne restent plus que +/-120 km. Vers 16:15 hrs entre Saint-Sauveur-sur-Tinée et La Bollène Vésubie, notre tour guide s’arrête pour nous demander si on prend la route « directe » vers l’hôtel ou si on se tape encore le col du Turin …? Quelle question va …. On traverse Saint-Martin-de-Vésubie et commence la montée du Col emblématique du Rallye de Monte-Carlo. J’enclenche ma caméra, montée sur la moto et s’est parti pour une vingtaine de minutes excitantes et impressionnantes jusqu’au sommet du fameux Col du Turini. Il commence à faire nuit et vers 16:45 hrs on entame la descente. Sous la lumière de nos phares on recherche la route et on estime plutôt le bon tracé des virages. C’est vraiment « la Nuit du Turini » (nom de l'étape clèf du rallye Monte Carlo). Quelques rares voitures nous croisent et vers 18.30 on arrive enfin au cocon, une bonne douche et on est prêt pour l’apéro. Quelques petites réflexions sur cette superbe journée, et JPS* nous explique que son GPS a enregistré quelques 3200 changements de vitesse pour cette journée longue de 350 km. Après un excellent dîner copieux, on succombe au sommeil et vers 22:30hrs, toute l’équipe tombe dans des rêves profonds.
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30.10.  Petit-déjeuner impeccable, une vingtaine de petits bocaux de miel nous attendent. 9:00 hrs, c’est le départ. On descend vers Nice pour prendre l’autoroute direction Italie. Sorti à Ventimiglia, on doit se faufiler à travers une circulation dense, bourrée de scooter (Vespa), pour enfin obliquer à gauche et s’élancer dans des petites routes montagneuses. Dans un paysage sublime et impressionnant, on passe entre des champs d’oliviers et des champs remplis de brebis, on passe par des forêts aux couleurs multiples, et traverse des petits villages endormis. Un petit tracteur par-ci, un chien errant par-là et des motifs photographiques partout. Lors de l’exploration d’un de ces villages de montagne perché (et sans issue), où les virages étaient tellement serrés et pointus qu’un battant a dû faire marche arrière avec son gros vaisseau amiral à 6 cylindres pour virer, un autre combattant barbu s’est apparemment même prosterné (avec sa meule) sur le parvis devant l’église de Perinaldo en suppliant le bon Dieu de nous conduire enfin hors de ce bourg ensorcelé et labyrinthique. NDLR : Plus tard, de méchantes langues prétendaient que le seul et unique but de cette action périlleuse était d’impressionner le tour guide en démontrant que l’exercice de faire demi-tour aussi serré que les vieux doués lui réussisse (ou presque). Sur les petites routes boisées du Monte Ceppo à plus de 1500m d’altitude et dans les endroits ombreux, les routes sont humides, glissantes et même parfois givrées et le froid est aussi au rendez-vous dans ces coins, ce matin-là. Déjà avant l’heure de midi, on s’arrête à Molini di Triora, un petit village typiquement italien, pour aller manger. Selon une anecdote, le club serait déjà passé par ici, il y a quelques années. Alors un chauffeur inattentif a fait tomber quelques motos en faisant marche arrière et endommagé une des GS de sorte qu’elle ne pouvait plus continuer. Comme le restaurant n’était pas encore ouvert, quelques-uns profitent du temps libre pour rendre visite à la « sorcière du village » pour y déguster sa potion magique. Après une bonne « pasta » aux morilles (ou pareil), on reprend la route virage par virage et on retourne vers Ventimiglia en passant par d’autres petits cols sur des routes sinueuses avec d’innombrables virages. A la frontière franco-italienne, on déguste encore un petit expresso et c’est déjà le retour vers l’auberge après (seulement) 242 km. C’est notre dernière soirée à l’auberge, demain c’est la route du retour au Nord, probablement moins ravissante que les trois derniers jours. Ce soir au resto, on a de la visite, un couple de connaissance se joint à nous pour un dîner encore meilleur que les soirées précédentes.
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31.10.  Après le petit-déj. et le règlement de la douloureuse, le rituel habituel reprend et c’est parti pour une autre belle étape de quelques 400 km. Le premier col de la journée, c’est le Col de Vence, ensuite, on descend les Gorges du Loup pour un arrêt déjà traditionnel à la confiserie à Pont-du-Loup pour l’acquisition de quelques kilos de marrons-glacés, orangettes, truffes, amandes chocolatées, œufs de mouettes ou autres sucreries. Nous poursuivons notre route par le Col de la Sine et le Col de Ferrier pour retrouver la Route Napoléon à Sant-Vallier-de-Thiey. On est presque tout seul sur la nationale 85 et les départementales 21 et 71 très roulantes et on avance bien via le Pas de la Faye, Col de Valferrière, Col de Clavel, la Bastide et Comps-sur-Artuby pour arriver au Grand Canyon du Verdon. On s’arrête aux balcons de la Mescla, sans doute un des plus beaux panoramas, ainsi qu’au Pont de l’Artuby, haut de 182m et très célèbre pour la pratique du saut à l’élastique car il est le plus haut d’Europe. 
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Par la Falaise des Cavaliers, la Corniche Sublime et le Cirque de Vaumale, on arrive à Aiguines, petit village tranquille en cette période de l’année, mais sous occupation touristique pendant tout l’été. Le village au-dessus du Lac de Sainte Croix est dominé par son château médiéval entièrement restauré et on s’installe confortablement sur une belle terrasse ensoleillée pour notre repas du midi. Il fait 21°, c’est incroyable pour un 31 octobre (Halloween).Au départ, après la pause de midi, nos regards se tournent vers le Lac de Sainte-Croix, ou le Verdon trouve sa fin et qui semble se reposer des temps mouvementés de l’été passé. Après Moustier-Ste.-Marie, immense marche traditionnelle en été, nous nous dirigeons vers la Bégude-Blanche et Digne-les-Bains. En montant la D900 direction Seyne et le Lac de Serre Ponçon, on passe par le Col du Labouret, le Col de Maure et le Col St.-Jean pour longer le Barrage de Serre-Poncon et passer la Durance. Après le plein d’essence, les virages arqués de la D3 côté ouest du lac nous mènent à Chorges et le Col de Manse vers la route Napoléon au nord de Gap. 
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Dernière difficulté de la journée, le Col du Noyer. Au Sommet on profite pour faire quelques belles photos au coucher du soleil. Après le passage du troupeau de moutons à Saint-Etienne-en-Dévoluy et un raccourci mal interprété à la sortie de Saint-Disdier, on passe le barrage (EDF) du lac de Sautet avec ses falaises impressionnantes, ou des passages très étroits sont entaillés dans le rocher pour pouvoir faire des promenades infernales. Quelques minutes plus tard, nous rangeons nos motos au garage de l’Hôtel de la Poste à Corps. Incroyablement décoré, style 1900 avec des murs avec tapisserie en étoffe et des chambres meublées belle époque. Le resto avec un service, style franco-allemand, qualité et quantité et un orgue de Barbarie hors du commun. En amuse-bouche, des huîtres 2 pour chacun, des écrevisses, le cocktail crevettes et tous les accompagnements. On commence avec l’entrée très copieuse, on continue avec le plat de résistance, un prédessert, suivi de l’assiette gourmande (le dessert normal), suivi de tuiles ondulées et profiteroles à la crème à volonté, accompagnées du café ; difficile à ne pas lâcher. A la fin, pour mieux digérer on demande un petit verre d’absinthe et on nous sert un verre de 25 cl !? … Que c’était bon … !  
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Ce n’est pas la première fois qu’on séjourne à l’hôtel de la Poste et certainement pas la dernière. On se couche, comme d’habitude pas trop tard, mais le dîner abondant nous empêche de nous endormir immédiatement.
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01.11. Tout s’annonce bien et a priori on pourra partir même avant l’heure prévue, mais, hélas, le payement nous retarde considérablement, la connexion ne veux pas réussir. Aucune carte à puce ne fonctionne, ni celle du club, ni celle du tour guide, ni celles des autres clients. Mille millions de mille tonnerres, impossible de faire fonctionner cette maudite machine de lecteur de carte. 9:25 hrs, enfin le départ, ou presque, car après un petit kilomètre, mon RDS (Reifendruck truc machin) me prévient que le pneu arrière n’a plus qu’une pression de 1.8, alors retour à la case départ, où heureusement, un mécano est de service le jour de Toussaint. Illico il me charge le pneu à 3.0 kg et nous pouvons enfin reprendre la route. Rapidement on passe le Col St.Sébastien pour arriver à Mens et une bonne vingtaine de kilomètres plus loin, on rejoint l’autoroute direction Grenoble. Moins que 700 bornes à accomplir et sous le soleil à 21° en passe Grenoble, pour arrive vers 17.30 à Zouftgen. Un superbe voyage s’achève avec plein de plaisir de joie et l’honneur d’avoir fait partie de ce merveilleux groupe. Et si c’était à refaire, ... ? Eh oui, bien sûre, tout de suite …. 
Claude MÜLLER